Comme vous avez pu le constater les travaux de refonte des espaces verts de l’AFUL on commencé ce Lundi 6 JAnvier. Ils vont durer de 4 à 6 semaines. C’est un gros chantier, et comme tout chantier important, nous avons du mal à nous projeter dans l’avenir. Et je voudrais rassurer la minorité qui nous a témoigné de leur inquiétude voire désaccord sur les options prises.
D’abord les arbres : oui cela nous a tous fait mal au coeur de voir nos cerisiers coupés à la tronçonneuse. Mais il faut savoir que contraitement à une idée reçue, les arbres n’ont pas une vie éternelle. Cela ne se voit pas dans une fôret mais la végétation fait bien les choses : les arbres malades tombent et permettent le regain d’autres espèces. En ville on ne peut pas accepter que les arbres tombent d’eux même! Si vous avez assitez à la coupe, vous avez pu remarquer le travail admirable des bucherons pour scier branche par branche la végétation afin qu’elle n’abîme pas en tombant les terrasses. Les arbres qui ont été supprimés l’ont été soit parce qu’ils étaient malades Photo 2 et Photo3, soit parce qu’ils abîmaient les fondations et les murets, soit parce qu’ils étaient trop haut et ne pouvait pas être élagués.
Les haies : elles étaient pour la plus part atteinte d’un champigon qui se propage dans toute l’île de France. Mais elles étaient aussi devenue trop large (près de deux metres). Au centre il n’y avait plus que du branchage. En supprimer qu’une partie ? C’est un peu comme quand in refait la peinture chez soi : le moindre objet qui n’est pas rénové apparait alors comme un défaut, du vieux. On avait prévu à l’origine remplanter au fur et à mesure que l’on arrachait. Finalement pour diminuer les frais, on a profité de la présence du broyeur pour tout faire d’un coup (coupe, élagage et arrachage). Les résidus de broyage etant utilisés comme fertilisant sur les parcelles refleuries Photo4
Les plantations de fleur : comme vous avez pu le voir photo5, il y en a beaucoup et les jardiniers nous ont assurés que dès ce primtemps nous serions agréablement surpris par l’explosion de couleur qui va en résulter. Donc la perte de la floraison des cérisiers (qui ne durait pas pas plus de 15 jours) sera compensée par la floraison des nouvelles plantes? Ce ne sont pas des annuelles (même si en cas de gros gel, il peut y avoir quelques pertes mais bien des massifs qui repousseront naturellement chaque année. Pour préserver l’investissement nous avons fait installer un arrosage automatique goutte à goutte qui sera semi-automatique dans un premier temps : il faudra que le gardien branche un tuyau mais il n’aura pas à s’occuper de la durée. Comme dit plus haut, la terre sera recouverte d’un couche de résidus de broyage pui s par dessus des écorces pour rendre cela plus propre.
En esperant vous avoir convaincu d’être patient, je vous souahite une bonne semaine
Cordialement
Gilles
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